Mieux-être
Qu’est-ce que le mieux-être ?
Le mieux-être c’est :
- Une amélioration de l’état de santé globale qui procure le sentiment de mener une vie plus satisfaisante et harmonieuse ;
- Un facteur important qui contribue à augmenter la qualité de vie.
Le mieux-être au MBAM
Toujours à l’écoute des besoins du public, nous développons des projets de mieux-être par l’art en co-création avec divers responsables et partenaires. L’objectif : mettre les expertises de chacun à contribution pour obtenir un meilleur impact sur le mieux-être des individus.
Vous souhaitez nous soumettre une proposition de projet ? Remplissez dès à présent le formulaire en ligne !
Photo Caroline Hayeur (Collectifs stock photo)
Conditions nécessaires pour les projets en mieux-être :
- 1Les projets sont généralement composés de 12 participants en plus des responsables du Musée et de l’organisme en partenariat. Les rôles, les responsabilités, les attentes et les expertises de chaque partenaire sont mis à contribution au service des participants.
- 2Les projets sont en lien direct avec les collections du Musée et la création artistique. Par la rencontre, les échanges et la création, les participants plongent au cœur d’une expérience esthétique et significative qui leur apportera un mieux-être.
- 3Les projets se déroulent principalement au Musée. Selon le type de groupe ou du service offert, le Musée se déplace dans le milieu des participants pour poursuivre le projet.
- 4Les projets en partenariat varient en temps et en fréquence en fonction des objectifs, de la faisabilité et des ressources disponibles.
N.B. À la suite de la réception de votre proposition, un comité évaluera la demande et nous vous contacterons pour une rencontre afin de développer le projet ou vous guider vers d’autres services et activités du Musée.
Quelques projets de mieux-être
La fondation du Dr Julien (enfants de milieux de grande vulnérabilité) ;
Parkinson en mouvement (adultes vivant avec la maladie neurodégénérative de Parkinson) ;
Priorité jeunesse de Montréal Nord (communautés souvent exclues et vulnérables) ;
École Irénée Lussier (jeunes en situation de handicap ou vivant avec le TSA) ;
Gold Center (adultes en situation de handicap ou vivant avec les TSA);
SHERPA (divers groupes vulnérables, immigration, radicalisation, situations socio-économiques).
Recherche en mieux-être
Dans le cadre de l’École du Louvre, Colette Dufresne Tassé colligera des données de l’expérience visiteur pour mesurer ses effets sur le mieux-être à la suite des expériences immersives. Nous tenterons d’isoler les variables qui pointent vers les facteurs déterminants qui contribuent au mieux-être.
Cet outil permettra de recueillir des données chez les participants qui ont déjà pris part à un projet en mieux-être ou qui y sont engagés au moment de la recherche. De nombreuses corrélations pourraient être établies en lien avec le mieux-être.
Bruno Wicker cherche à savoir comment une personne Asperger change la façon de regarder une œuvre suite à un projet échelonné sur 10 rencontres de deux heures chacune, une fois par semaine, avec le même groupe de 8 à 10 participants, et ce pour trois groupes distincts. Ces trois groupes ont reçu le même programme avec la même médiatrice jumelant une heure de visite en salle avec l’approche éducative et dialogique suivie d’une heure de création artistique en atelier.
Société québécoise inclusive a pour mandat de rendre le contenu de trois cartels plus accessible à la compréhension pour des adultes aphasiques. Une application numérique pourrait être conçue afin de faciliter l’inclusion de ces personnes, mais aussi tendre vers une accessibilité universelle.
L’accessibilité et l’inclusion sont des facteurs qui contribuent au mieux-être subjectif qui constitue, selon l’OCDE, l’un des indicateurs pour évaluer la qualité de vie.