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Jean Paul Riopelle (1923-2002), Point de rencontre – Quintette (polyptych), 1963, oil on canvas, 428 x 564 cm (5 panels). Centre national des arts plastiques, Paris. Inv. FNAC 90069. © Estate of Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo CNAP
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Jean Paul Riopelle (1923-2002), Point de rencontre – Quintette (polyptych), 1963, oil on canvas, 428 x 564 cm (5 panels). Centre national des arts plastiques, Paris. Inv. FNAC 90069. © Estate of Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo CNAP
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25 novembre 2020 – 12 septembre 2021

Riopelle

À la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones

Le Musée des beaux-arts de Montréal consacre une exposition d’envergure à Jean Paul Riopelle (1923-2002), figure majeure de l’art moderne canadien, québécois et international. Fruit de recherches inédites, cette présentation explore, au travers de près de 160 œuvres et de plus de 150 artefacts et documents d’archives, l’intérêt de l’artiste pour la nordicité et l’autochtonie. Elle jette un nouvel éclairage sur sa production des années 1950 et 1970, en retraçant les voyages et les influences qui ont nourri son intérêt pour les territoires nordiques et les communautés autochtones d’Amérique du Nord.

L’exposition Riopelle : À la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones dévoile un artiste imprégné par l’intérêt des surréalistes pour les arts non occidentaux, influencé par son ami et collectionneur Georges Duthuit ainsi que par la lecture des travaux d’anthropologues et d’ethnologues tels que Marius Barbeau, Jean Malaurie et Claude Lévi-Strauss.

Elle rend compte de l’influence des voyages de chasse et de pêche faits par Riopelle au cours des années 1970 dans le Nord et le Grand Nord du Québec et du Canada, en compagnie du Dr Champlain Charest, propriétaire d’un hydravion, dont témoignent entre autres les séries Jeux de ficelles (1971-1972), Rois de Thulé (1973) et Icebergs (1977). S’appuyant sur une approche interculturelle, elle fait un parallèle inédit entre les œuvres de Riopelle et certaines sources qui l’ont inspiré, notamment une sélection de masques inuit et d’œuvres des Premières Nations de la côte Nord-Ouest du pacifique.

Des œuvres inédites ou restaurées

Suivant un parcours chronologique aussi bien que thématique, l’exposition réunit près de 110 œuvres de Riopelle (peintures, sculptures et œuvres sur papier) issues de la collection du MBAM et d’une cinquantaine de collections institutionnelles et particulières canadiennes, américaines et françaises. Elle comprend notamment deux œuvres majeures récemment restaurées, la sculpture monumentale Fontaine (1964-1977), présentée pour la toute première fois, ainsi que l’imposant tableau Point de rencontre – Quintette (1963), seule commande réalisée par l’artiste, jusqu’ici exposée à l’Opéra Bastille de Paris.

Jean Paul Riopelle (1923-2002), La Fontaine, vers 1964-1977, plâtre peint, cordage, 400 x 300 x 300 cm. Collection particulière. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Jean-François Brière
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Plusieurs œuvres majeures

L'exposition donne par ailleurs à voir une aquarelle de Riopelle datant de 1946 ayant appartenu à André Breton, une série méconnue de remarquables œuvres sur papier à la pointe d’argent, ainsi que plusieurs œuvres majeures parmi lesquelles Blizzard sylvestre (1953), L’étang – Hommage à Grey Owl (1970), D’un long voyage (1973) et Pangnirtung (1977). Des artefacts et une vaste sélection de documents (photographies, vidéos et extraits de correspondances inédits) permettent de contextualiser la production de l’artiste.

Jean Paul Riopelle (1923-2002), L’étang – Hommage à Grey Owl, 1970, huile sur toile, 299,5 x 400 cm. Musée des beaux-arts de Montréal, don de la Banque canadienne impériale de commerce. Inv. 2001.184. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Christine Guest
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Des œuvres inspirantes et inspirées

S’ajoutent à cet ensemble des œuvres historiques des communautés yupik, kwakwaka’wakw et tlingit, entre autres, en tant que sources pour l’imaginaire riopellien, et celles d’artistes inuit, contemporains tels que Luke Akuptangoak, Noah Arpatuq Echalook, Mattiusi Iyaituk et Pudlo Pudlat, de même que l’Atikamekw César Newashish. D’autres encore, tel Beau Dick, invitent à élargir notre regard à la créativité autochtone actuelle. À cet égard, l’exposition intègre une commande faite à l’artiste tlingit Alison Bremner, Ceremonial Wealth (2020), ainsi qu’une nouvelle acquisition du MBAM, un cadeau de Doreen (2016-2019) de l’artiste cri Duane Linklater.

Noah Arpatuq Echalook (né en 1946), Femme jouant à la ficelle, 1987, pierre veinée vert foncé, ivoire, peau d’animal, 26 x 39 x 24 cm. Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada. © Fédération des coopératives du Nouveau-Québec. Photo MBAC
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À propos de l’artiste

Jean Paul Riopelle (Montréal, 1923 – Isle-aux-Grues, 2002) est reconnu comme l’un des artistes canadiens les plus importants et prolifiques du XXe siècle. Il étudie à l’École du meuble de Montréal, où il rencontre le peintre Paul-Émile Borduas et les artistes automatistes, avec qui il signera, en 1948, le manifeste du Refus global. Installé à Paris, il fait la connaissance des surréalistes et du collectionneur d’art Georges Duthuit, au contact desquels il développe un intérêt pour l’art et les cultures autochtones. Sa production des années 1970 est marquée par de nombreuses expéditions au Nunavik et au Nunavut.

Basil Zarov (1905 (?)-1998), Jean Paul Riopelle à l’atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Au loin, l’oeuvre « La Défaite », vers 1976, photographie noir et blanc. Ottawa, Bibliothèque et Archives Canada. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo © Bibliothèque et Archives Canada. Reproduction autorisée par Bibliothèque et Archives Canada/Fonds Basil Zarov/e011205146
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Aujourd’hui, son empreinte artistique s’étend à tous les continents. L’œuvre de Riopelle est représentée dans les collections publiques de plus 60 villes, notamment au sein du Solomon R. Guggenheim Museum de New York, du Centre Pompidou de Paris et du Hirshhorn Museum de Washington, D.C. Le MBAM, qui possède 370 œuvres de l’artiste, dont 27 peintures, lui a entre autres consacré, en 1991 et 2002, deux grandes expositions. La Fondation Jean Paul Riopelle a par ailleurs été créée en 2019 afin de perpétuer l’œuvre de Riopelle et de célébrer sa contribution à l’histoire de l’art international ainsi que son immense legs artistique, notamment en vue du centenaire de sa naissance en 2023.

Photographie de Claude Duthuit montrant Paul Rebeyrolle, Riopelle, Jacques Lamy et Champlain Charest lors d’un voyage de pêche, vers 1975, tirage 2020, photographie noir et blanc. Archives Yseult Riopelle. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo Claude Duthuit – Archives Yseult Riopelle
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Publication

Parfait compagnon de l’exposition, cet ouvrage scientifique réunit des essais et de riches illustrations qui permettent d’approfondir l’influence prégnante de la nordicité et de l’autochtonie dans l’œuvre de Jean Paul Riopelle. Privilégiant une approche interdisciplinaire croisant histoire de l’art et anthropologie, ce catalogue dirigé par Andréanne Roy, Jacques Des Rochers et Yseult Riopelle a bénéficié de l’apport de spécialistes, dont plusieurs sont issus de communautés autochtones.

Publication, Riopelle : à la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones
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Ils en parlent

L’approche humaniste de Riopelle, son attirance pour la nature, les grands espaces du Nord canadien et les autochtones sont traités avec brio dans une nouvelle exposition du Musée des beaux-arts de Montréal

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La Presse

Éric Clément

La Presse

Ce travail de recherche, digne d’une équipe de détectives, se trouve rassemblé dans un catalogue très précieux pour qui s’intéresse à l'œuvre de Riopelle où à la notion de modernité en art.

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Le Devoir
Nicolas Mavrikakis
Le Devoir

Avec cette présentation sur Riopelle, les commissaires ont su démontrer que cette attirance des modernes pour le primitif comprenait aussi les arts autochtones d’Amérique du Nord. Voilà un ajout très important à la lecture critique de l’art moderne.

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Le Devoir
Nicolas Mavrikakis
Le Devoir

Sur cette expo flotte un parfum de liberté venu de la nature, des symboles chamaniques des Premiers Peuples, des grandes toiles d’abstraction lyrique de Riopelle et de sa sculpture Fontaine […]. Comme une bouffée d’air frais venue d’ailleurs.

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Odile Tremblay
Le Devoir

J’ai adoré ça.

Marc Cassivi
Esprit critique

a creatively curated, grand-scale tribute to one of Canada’s greatest artists

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The Montreal Gazette
Ian McGillis
The Montreal Gazette

Avec l’hiver qui est à nos portes, cette exposition pourrait bien nous réconcilier avec notre nordicité.

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Nabi Alexandre-Chartier
L’heure du monde

C’est une des belles expos que j’ai vues dans ma vie

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Radio-Canada
Samuel Archibald
Culture Club

la nouvelle expo scrute, pour la première fois, les rapports du monstre sacré de l’art québécois avec la nordicité et l’autochtonie.

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Le Devoir
Jérôme Delgado
Le Devoir

Extraordinaire ! […] C’est un travail remarquable qui a été fait.

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Radio-Canada
Evelyne Charuest
Dessine-moi un dimanche

le trio de commissaires a effectué un travail de recherche remarquable et colossal pour assembler cette exposition riche, fascinante et hyper documentée.

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Journal Métro
Marie-Lise Rousseau
Journal Métro

Un résultat vraiment magnifique. […] Dès que les musées vont rouvrir, précipitez-vous!

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logo ICI Radio-Canada
Eugénie Lépine-Blondeau
ICI Radio-Canada Première, Tout un matin

Une exploration d’une œuvre qu’on pensait connaître

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Radio-Canada
Michel Désautels
Désautels le dimanche

Un livre absolument magnifique qui accompagne l’exposition. […] C’est colossal, c’est magnifique.

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Radio-Canada
Catherine Perrin
Du côté de chez Catherine

Une expo dans laquelle on resterait toute une vie.

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Radio-Canada
Franco Nuovo
Pénélope

C’est tout un privilège de pouvoir explorer ses œuvres. C’est le cadeau du Musée des beaux-arts de Montréal.

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Catherine Brisson
Puisqu’il faut se lever

Un éclairage nouveau sur l’œuvre de Riopelle.

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logo ICI Radio-Canada
Catherine Richer
Le 15-18

a new exhibition on Jean Paul Riopelle

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Radio-Canada
Ainslie MacLellan
All in a Weekend

L’intérêt de Riopelle pour les cultures autochtones mis en lumière par le MBAM.

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Anne-Marie Yvon
Espaces autochtones

un ouvrage très bien documenté révélant les influences nordiques et autochtones sur les œuvres de l’immense artiste québécois.

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Radio-Canada
Ismaël Houdassine
Regards sur l'Arctique

An exhibition […] at the Montreal Museum of Fine Arts explores in detail the influence of the Arctic—both the region and its indigenous people—on Riopelle’s artistic vision.

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Art and Antiques
John Dorfman
Art and Antiques Magazine

Jean Paul Riopelle, one of the greatest Canadian artists of the 20th century, is the subject of a new exhibition at the Montreal Museum of Fine Arts

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NUVO magazine
Ayesha Habib
NUVO magazine

[l’exposition] ouvre la voie à des interprétations inédites de l'œuvre de l’un des plus grands peintres du Québec et contextualise très clairement certaines périodes charnières de sa carrière.

Olivier Du Ruisseau
labibleurbaine.com

c’est un événement majeur que le MBAM propose, à la hauteur de l’artiste légendaire que Riopelle a été et continue d’être 18 ans après sa mort.

Avenues.ca
Claude Deschênes
Avenues.ca

Crédits et commissariat

Une exposition conçue, organisée et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal. Le commissariat est assuré par Andréanne Roy et Yseult Riopelle, commissaires invitées, ainsi que par Jacques Des Rochers, conservateur de l’art québécois et canadien (avant 1945), MBAM.

Remerciements

L’exposition Riopelle : à la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones est conçue, organisée et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal.

Elle est présentée par Hydro-Québec et rendue possible grâce à la généreuse contribution de la Fondation Audain. Financé par le gouvernement du Canada, le projet reçoit le soutien de ses partenaires, Hatch, la Fondation Jean Paul Riopelle, la Maison de vente aux enchères Heffel, Tourisme Montréal, RBC, le Cercle des Anges du MBAM et La Presse, partenaire média officiel. Le Musée reconnaît l’apport essentiel de ses commanditaires officiels, Air Canada et Peinture Denalt, et de ses partenaires médias, Bell et Montreal Gazette.

L’exposition a reçu l’appui du ministère du Patrimoine canadien par le biais du Programme d’indemnisation pour les expositions itinérantes au Canada. Le MBAM exprime sa profonde gratitude au ministère de la Culture et des Communications, au Conseil des arts du Canada et au Conseil des arts de Montréal pour leur soutien constant. Le programme d’expositions internationales du Musée bénéficie de l’appui financier du fonds d’expositions de la Fondation du MBAM et du fonds Paul G. Desmarais.

Le Musée remercie chaleureusement ses guides bénévoles pour leur dévouement inconditionnel, ainsi que ses membres et les nombreuses personnes, entreprises et fondations qui lui accordent leur inestimable soutien – notamment la Fondation de la Chenelière, dirigée par Michel de la Chenelière, et Arte Musica, présidée par Pierre Bourgie.

Que toutes les personnes qui ont permis, par leur généreux concours, leur encouragement et leur soutien, la réalisation de cette exposition et de sa publication scientifique trouvent ici l’expression de notre plus sincère reconnaissance.

Riopelle - Partenaires
Jean Paul Riopelle (1923-2002), La Fontaine, vers 1964-1977, plâtre peint, cordage, 400 x 300 x 300 cm. Collection particulière. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Jean-François Brière

Jean Paul Riopelle (1923-2002), La Fontaine, vers 1964-1977, plâtre peint, cordage, 400 x 300 x 300 cm. Collection particulière. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Jean-François Brière

Jean Paul Riopelle (1923-2002), L’étang – Hommage à Grey Owl, 1970, huile sur toile, 299,5 x 400 cm. Musée des beaux-arts de Montréal, don de la Banque canadienne impériale de commerce. Inv. 2001.184. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Christine Guest

Jean Paul Riopelle (1923-2002), L’étang – Hommage à Grey Owl, 1970, huile sur toile, 299,5 x 400 cm. Musée des beaux-arts de Montréal, don de la Banque canadienne impériale de commerce. Inv. 2001.184. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo MBAM, Christine Guest

Noah Arpatuq Echalook (né en 1946), Femme jouant à la ficelle, 1987, pierre veinée vert foncé, ivoire, peau d’animal, 26 x 39 x 24 cm. Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada. © Fédération des coopératives du Nouveau-Québec. Photo MBAC

Noah Arpatuq Echalook (né en 1946), Femme jouant à la ficelle, 1987, pierre veinée vert foncé, ivoire, peau d’animal, 26 x 39 x 24 cm. Ottawa, Musée des beaux-arts du Canada. © Fédération des coopératives du Nouveau-Québec. Photo MBAC

Basil Zarov (1905 (?)-1998), Jean Paul Riopelle à l’atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Au loin, l’oeuvre « La Défaite », vers 1976, photographie noir et blanc. Ottawa, Bibliothèque et Archives Canada. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo © Bibliothèque et Archives Canada. Reproduction autorisée par Bibliothèque et Archives Canada/Fonds Basil Zarov/e011205146

Basil Zarov (1905 (?)-1998), Jean Paul Riopelle à l’atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson. Au loin, l’oeuvre « La Défaite », vers 1976, photographie noir et blanc. Ottawa, Bibliothèque et Archives Canada. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo © Bibliothèque et Archives Canada. Reproduction autorisée par Bibliothèque et Archives Canada/Fonds Basil Zarov/e011205146

Photographie de Claude Duthuit montrant Paul Rebeyrolle, Riopelle, Jacques Lamy et Champlain Charest lors d’un voyage de pêche, vers 1975, tirage 2020, photographie noir et blanc. Archives Yseult Riopelle. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo Claude Duthuit – Archives Yseult Riopelle

Photographie de Claude Duthuit montrant Paul Rebeyrolle, Riopelle, Jacques Lamy et Champlain Charest lors d’un voyage de pêche, vers 1975, tirage 2020, photographie noir et blanc. Archives Yseult Riopelle. © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2020). Photo Claude Duthuit – Archives Yseult Riopelle

Publication, Riopelle : à la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones

Catalogue Riopelle : à la rencontre des territoires nordiques et des cultures autochtones, Éditions scientifiques du MBAM, en collaboration avec 5 Continents Editions, Milan

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